L'imam Nawawi explique aux musulmans comment pratiquer de façon hallal la zoophilie à partir du sahih Boukhari
Dans son commentaire du hadith sahih boukhari, l'imam Nawawi explique lui meme aux musulmans comment pratiquer la zoophilie d'une maniere halal.
Si cette pratique etait tres repandue, comment se fait t il que Nawawi en parle de cette maniere sans une seule fois la declarer haram ?
En islam, on ne commente pas le haram, par exemple , on ne dit pas : ne pas boire plus de 3 verres de vins avant de conduire. Ou bien, ne pas ejaculer a l'interieur lors d'adultere. Non, haram c est haram.
Et bien lisez moi cette anthologie islamique pour le moins tres cochonne.
http://hadith.al-islam.com/Display/Disp ... =1&Rec=765
نسخ الماء من الماء ووجوب الغسل بالتقاء الختانين الحيض صحيح مسلم
و حدثني زهير بن حرب وأبو غسان المسمعي ح و حدثناه محمد بن المثنى وابن بشار قالوا حدثنا معاذ بن هشام قال حدثني أبي عن قتادة ومطر عن الحسن عن أبي رافع عن أبي هريرة
أن نبي الله صلى الله عليه وسلم قال إذا جلس بين شعبها الأربع ثم جهدها فقد وجب عليه الغسل
قَوْله صَلَّى اللَّه عَلَيْهِ وَسَلَّمَ : ( إِذَا قَعَدَ بَيْن شُعَبهَا الْأَرْبَع ثُمَّ جَهَدهَا )
وَفِي رِوَايَة ( أَشْعُبهَا ) اِخْتَلَفَ الْعُلَمَاء فِي الْمُرَاد بِالشُّعَبِ الْأَرْبَع , فَقِيلَ : هِيَ الْيَدَانِ وَالرِّجْلَانِ , وَقِيلَ : الرِّجْلَانِ وَالْفَخِذَانِ , وَقِيلَ : الرِّجْلَانِ وَالشَّفْرَانِ , وَاخْتَارَ الْقَاضِي عِيَاض أَنَّ الْمُرَاد شُعَب الْفَرْج الْأَرْبَع , وَالشُّعَب النَّوَاحِي وَاحِدَتهَا شُعْبَة , وَأَمَّا مَنْ قَالَ : ( أَشْعُبِهَا ) , فَهُوَ جَمْع شُعَب . وَمَعْنَى ( جَهَدَهَا ) حَفَرَهَا كَذَا قَالَهُ الْخَطَّابِيُّ وَقَالَ غَيْره : بَلَغَ مَشَقَّتهَا , يُقَال : جَهِدْته وَأَجْهَدْته بَلَغْت مَشَقَّته , قَالَ الْقَاضِي عِيَاض رَحِمَهُ اللَّه تَعَالَى : الْأَوْلَى أَنْ يَكُون جَهَدَهَا بِمَعْنَى بَلَغَ جَهْده فِي الْعَمَل فِيهَا , وَالْجَهْد الطَّاقَة , وَهُوَ إِشَارَة إِلَى الْحَرَكَة وَتَمَكُّن صُورَة الْعَمَل , وَهُوَ نَحْو قَوْله مِنْ حَفَرَهَا أَيْ كَدّهَا بِحَرَكَتِهِ . وَإِلَّا فَأَيّ مَشَقَّة بَلَغَ بِهَا فِي ذَلِكَ . وَاللَّهُ أَعْلَم . وَمَعْنَى الْحَدِيث أَنَّ إِيجَاب الْغُسْل لَا يَتَوَقَّف عَلَى نُزُول الْمَنِيّ بَلْ مَتَى غَابَتْ الْحَشَفَة فِي الْفَرْج وَجَبَ الْغُسْل عَلَى الرَّجُل وَالْمَرْأَة , وَهَذَا لَا خِلَاف فِيهِ الْيَوْم , وَقَدْ كَانَ فِيهِ خِلَاف لِبَعْضِ الصَّحَابَة وَمَنْ بَعْدهمْ , ثُمَّ اِنْعَقَدَ الْإِجْمَاع عَلَى مَا ذَكَرْنَاهُ , وَقَدْ تَقَدَّمَ بَيَان هَذَا . قَالَ أَصْحَابنَا : وَلَوْ غَيَّبَ الْحَشَفَة فِي دُبُر اِمْرَأَة , أَوْ دُبُر رَجُل , أَوْ فَرْج بَهِيمَة , أَوْ دُبُرهَا , وَجَبَ الْغُسْل سَوَاء كَانَ الْمَوْلَج فِيهِ حَيًّا أَوْ مَيِّتًا , صَغِيرًا أَوْ كَبِيرًا , وَسَوَاء كَانَ ذَلِكَ عَنْ قَصْد أَمْ عَنْ نِسْيَان , وَسَوَاء كَانَ مُخْتَارًا أَوْ مُكْرَهًا , أَوْ اسْتَدْخَلَت الْمَرْأَة ذَكَرَهُ وَهُوَ نَائِم , وَسَوَاء اِنْتَشَرَ الذَّكَر أَمْ لَا , وَسَوَاء كَانَ مَخْتُونًا أَمْ أَغْلَف , فَيَجِب الْغُسْل فِي كُلّ هَذِهِ الصُّوَر عَلَى الْفَاعِل وَالْمَفْعُول بِهِ إِلَّا إِذَا كَانَ الْفَاعِل أَوْ الْمَفْعُول بِهِ صَبِيًّا أَوْ صَبِيَّة فَإِنَّهُ لَا يُقَال وَجَبَ عَلَيْهِ لِأَنَّهُ لَيْسَ مُكَلَّفًا , وَلَكِنْ يُقَال صَارَ جُنُبًا فَإِنْ كَانَ مُمَيِّزًا وَجَبَ عَلَى الْوَلِيّ أَنْ يَأْمُرهُ بِالْغُسْلِ كَمَا يَأْمُرهُ بِالْوُضُوءِ , فَإِنْ صَلَّى مِنْ غَيْر غُسْلٍ لَمْ تَصِحّ صَلَاته , وَإِنْ لَمْ يَغْتَسِل حَتَّى بَلَغَ وَجَبَ عَلَيْهِ الْغُسْل , وَإِنْ اِغْتَسَلَ فِي الصِّبَى ثُمَّ بَلَغَ لَمْ يَلْزَمهُ إِعَادَة الْغُسْل . قَالَ أَصْحَابنَا : وَالِاعْتِبَار فِي الْجِمَاع بِتَغْيِيبِ الْحَشَفَة مِنْ صَحِيح الذَّكَر بِالِاتِّفَاقِ , فَإِذَا غَيَّبَهَا بِكَمَالِهَا تَعَلَّقَتْ بِهِ جَمِيع الْأَحْكَام , وَلَا يُشْتَرَط تَغْيِيب جَمِيع الذَّكَر بِالِاتِّفَاقِ . وَلَوْ غَيَّبَ بَعْض الْحَشَفَة لَا يَتَعَلَّق بِهِ شَيْء مِنْ الْأَحْكَام بِالِاتِّفَاقِ إِلَّا وَجْهًا شَاذًّا ذَكَرَهُ بَعْض أَصْحَابنَا أَنَّ حُكْمه حُكْم جَمِيعهَا , وَهَذَا الْوَجْه غَلَط مُنْكَر مَتْرُوك , وَأَمَّا إِذَا كَانَ الذَّكَر مَقْطُوعًا فَإِنْ بَقِيَ مِنْهُ دُون الْحَشَفَة لَمْ يَتَعَلَّق بِهِ شَيْء مِنْ الْأَحْكَام , وَإِنْ كَانَ الْبَاقِي قَدْر الْحَشَفَة فَحَسْب تَعَلَّقَتْ الْأَحْكَام بِتَغْيِيبِهِ بِكَمَالِهِ , وَإِنْ كَانَ زَائِدًا عَلَى قَدْر الْحَشَفَة فَفِيهِ وَجْهَانِ مَشْهُورَانِ لِأَصْحَابِنَا أَصَحّهمَا أَنَّ الْأَحْكَام تَتَعَلَّق بِقَدْرِ الْحَشَفَة مِنْهُ , وَالثَّانِي لَا يَتَعَلَّق شَيْء مِنْ الْأَحْكَام إِلَّا بِتَغْيِيبِ جَمِيع الْبَاقِي . وَاللَّهُ أَعْلَم .
وَلَوْ لَفَّ عَلَى ذَكَرِهِ خِرْقَة وَأَوْلَجَهُ فِي فَرْج اِمْرَأَة فَفِيهِ ثَلَاثَة أَوْجُه لِأَصْحَابِنَا مِنْهَا وَالْمَشْهُور أَنَّهُ يَجِب عَلَيْهِمَا الْغُسْل , وَالثَّانِي لَا يَجِب لِأَنَّهُ أَوْلَجَ فِي خِرْقَة , وَالثَّالِث إِنْ كَانَتْ الْخِرْقَة غَلِيظَة تَمْنَع وُصُول اللَّذَّة وَالرُّطُوبَة لَمْ يَجِب الْغُسْل . وَإِلَّا وَجَبَ . وَاللَّهُ أَعْلَم .
وَلَوْ اسْتَدْخَلَت الْمَرْأَة ذَكَرَ بَهِيمَة وَجَبَ عَلَيْهَا الْغُسْل , وَلَوْ اسْتَدْخَلَت ذَكَرًا مَقْطُوعًا فَوَجْهَانِ أَصَحّهمَا يَجِب عَلَيْهَا الْغُسْل .
Citation:
Hadith Sahih Muslim Livre 003, Numéro 0684:
Rapporté par Abu Musa:
Il surgit une divergence d’opinion entre un groupe de Muhajirs (émigrants) et un groupe de Ansar (Assistants) et le point de discorde était que le Ansar disait que le bain (dans le cas de relations sexuelles) devient obligatoire seulement lorsque le sperme jaillit ou éjacule ». Or les Muhajirs disaient que lorsqu’un homme a des relations sexuelles (avec la femme), le bain devient obligatoire (qu’importe qu’il y eu ait ou non émission séminale ou éjaculation).
Abu Musa a dit : « eh bien ! Je vais vous satisfaire sur ce problème ». Il (Abu Musa, le narrateur) dit : « je suis monté pour aller voir Aisha lui demander la permission, ce qui me fut accordé, et je dis : Ô Mère, ou Mère des Fidèles, je veux t’interroger au sujet d’un problème sur lequel je me sens embarrassé ». Elle répondit : « Ne sois pas timide en me questionnant à propos d’une chose sur laquelle tu peux questionner ta mère, celle qui t’a donnée naissance, car je suis aussi ta mère ». Sur ce je dis : « Qu’est-ce qui rend un bain obligatoire pour une personne ? » Elle répondit : « Tu est tombé sur une personne bien informée ! Le Messager d’Allah (Que la paix soit sur lui) a dit : Quand quelqu’un se place/s’assoit entre quatre parties (de la femme) et que les parties circoncises se touchent les unes les autres un bain devient obligatoire ».
Commentaire de l’imam An Al-Nawawi* au sujet de ce Hadith :
"La parole du Prophète (Paix et Bénédiction de Allah sur lui) "S'il s'assoit entre 'shu’biha Al-arba' (ses quatre membres), puis il pratique l'acte, alors son ablution devient obligatoire"
Dans une autre narration le mot 'Ashu’biha' (ses membres) est utilisé. Les savants se sont opposes sur le sens de 'shu’biha Al-arba'. Certains ont dit "ses bras et ses jambes", d'autres ont dit "ses jambes et ses cuisses", d'autres ont dit que ça signifie "les jambes et les bords du pubis". Al-Qadi Ayad a opte pour les quatre surfaces entourant le vagin. Le mot 'Shu’ab' signifiant surface, son singulier est 'Shu’bah'. D'autres ont défini 'Ash'ubiha', pluriel de 'Shu’ab'.
'Jahadaha' ici veut dire "la labourer", selon Al-Khattabi. D'autres l'ont défini comme "a fatiguer", comme dans la phrase "Je l'ai fait travailler et labourer jusqu'a l'épuiser". Al-Qadi Ayad – que Allah l'agrée - a dit 'En premier, le mot 'Jahadaha' signifie que l'homme a fourni un effort de travail sur une femme', ou le mot 'Juh’d' signifie énergie et se réfère au mouvement décrivant ce type de travail. Ceci est similaire a la parole du prophète (Paix et Bénédiction de Allah sur lui) « celui qui l'a labourée», signifiant celui qui l'a pénétrée avec son mouvement. Sinon, ce qui peut fatiguer un homme serait son expérience avec elle. Et Allah sait mieux.
La signification du hadith est que la nécessité de se laver ne se limite pas à lorsque le sperme est éjaculé, c’est plutôt quand le gland du pénis (Hash-fa, lit. « La tête du membre mâle » ou tête du pénis) pénètre le vagin, dans ce cas il est donc nécessaire pour l’homme et la femme de se laver. Il n’y a pas de désaccord sur ce sujet aujourd’hui, bien qu’il y ait eu une mésentente parmi les premiers compagnons et d’autres plus tard. Cependant, un accord fut trouvé plus tard et c’est ce que nous avons montré et présenté précédemment.
Nos compagnons ont dis que si le gland du pénis a pénétré l’anus d’une femme, ou l’anus d’un homme, ou le vagin d’un animal ou son anus alors dans ce cas il est nécessaire de se laver si celui qui est pénétré est vivant ou mort, jeune ou vieux, si cela a été fait intentionnellement ou distraitement, ou si cela a été fait délibérément ou violement. Cela s’applique aussi si la femme place le membre mâle à l’intérieur d’elle alors que l’homme est endormi, que le pénis soit en état d’érection ou non, et que le pénis soit circoncis ou incirconcis. Toutes ces situations demandent que la personne commettant cet acte et celle sur qui l’acte est commis doivent se laver elles mêmes, sauf si la personne commettant cet acte ou celle sur qui l’acte est commis est un jeune mâle ou une jeune fille. Dans ce cas il ne peut pas être dit que la personne doit se laver, pour eux il n’y a pas de responsabilité, il est plutôt dit que cette personne est en état d’impureté. Si cette personne peut discerner (l’acte sexuel) alors son tuteur peut lui ordonner de se laver comme il lui commande de faire ses ablutions pour les prières. S’il prie sans s’être lavé, sa prière n’a pas été accomplie correctement ; de même s’il ne se lave pas après qu’il atteigne la puberté il doit être forcé à se laver. Si il se lavait en tant que jeune et qui puis atteint la puberté, alors il n’a pas à répéter le lavage.
Nos compagnons ont dit que les rapports se produisent lorsqu’un gland de pénis en bonne santé pénètre complètement (un orifice), comme cela a été unanimement admis. Ainsi, quand le gland du pénis a complètement disparu (à l’intérieur de l’orifice), dans ce cas tous les règlements concernant le lavage s’appliquent. Il est unanimement reconnu qu’il n’est pas nécessaire que la verge entière pénètre pour appliquer les règlements du lavage. Si une partie du gland du pénis pénètre, alors les règlements du lavage ne sont pas imposés comme il est convenu, excepté quelques uns de nos compagnons qui ont dis que même dans ce cas les règlements du lavage s’appliquent. Quoiqu’il en soit, cette opinion est inexacte, rejetée et abandonnée. Si le membre masculin était divisé et ce qu’il en restait était moins que la longueur du gland, alors aucune des réglementations sur le lavage ne s’applique. Si la partie restante était égale en longueur a la longueur du gland alors cette partie doit pénétrer totalement pour que la réglementation du lavage s’applique. Si la partie restante était plus grande en longueur au à la longueur du gland du pénis dans ce cas il y’a deux célèbres opinions pour nos compagnons. La plus correcte étant que si la part qui pénètre est égale a la longueur du gland du pénis, alors les réglementations pour le lavage s’appliquent. L’autre opinion est que aucune des réglementations s’applique jusqu’à ce l’entière partie restante de la verge pénètre complètement et Allah sait mieux.
Si un homme enveloppe une gaine autour de son membre et puis éjacule à l’intérieur du vagin d’une femme, dans ce cas il y’a trois avis de la part de nos compagnons. Le plus célèbre étant que l’homme doit se laver. La seconde étant qu’il n’a pas à se laver car il a éjaculé à l’intérieur de la gaine. La troisième étant que si la gaine est épaisse empêchant ainsi l’orgasme et la mouillure (dans le vagin) alors le lavage n’est pas nécessaire, autrement cela est nécessaire et Allah sait mieux.
Si une femme insère (dans son vagin) le pénis d’un animal elle doit se laver, et si elle insère un pénis détaché (thakaran maktu-an, lit. « Un membre masculin divisé » ; un godemiché peut-être ?) Il y’a deux opinions ; le plus juste est qu’elle doit se laver.
L'imam est en train de parler de penetrer des animaux, couper des penis animaux pour les inserer dans des vagins feminins...
Et tout ce qu'il trouve a dire, c'est comment se laver apres acte..
Le rapport avec la femme ? Simple. Apres avoir vu que Momo compare la femme a l'ane et au chien noir, un shaytan, selon lui (
http://hadith.al-islam.com/Display/Disp ... =789&doc=1 ), nous voyons que le prophete parle de la relation sexuelle sans faire de distinction entre la femme et l'animal.