LIVRE L'Antichrist, vers un Djihad Mondial
http://www.islam-bible-prophecy.com/apocalypse/
Extrait de Mohammed sceau des prophètes, Sindbad, 1980, d'après une traduction de Tabari, historien, exégète et théologien musulman éminent du neuvième siècle (ère chrétienne). Cet ouvrage, et cette maison d'éditions, ont pour objectif déclaré de valoriser et promouvoir l'Islam.
Or un homme vint dénoncer Kinâna, fils de Hoqaïq, comme sachant où étaient déposés les trésors des Beni-Nadhir [une tribu juive de Médine]. Le Prophète fit venir Kinâna, qui refusa d'avouer, résistant à toute persuasion. On le fit jurer sur l'âme de son père, mais il n'avoua pas. Alors un autre d'entre les prisonniers juifs vint faire la déclaration suivante : A tel endroit, près de la porte du fort, il y a un lieu isolé, autour duquel j'ai vu rôder Kinâna, chaque matin. Le Prophète, ayant fait appeler Kinâna et l'ayant interrogé en vain, lui dit : Si je fais fouiller en cet endroit et que je trouve les trésors, je te ferai mettre à mort. - C'est bien, répliqua Kinâna. On fit des fouilles et l'on découvrit une partie des trésors. Kinâna refusant de dire où était le reste, le Prophète fit venir Zobaïr, fils d'Al Awwâm, et lui dit : Mets-le à la question, jusqu'à ce qu'il avoue ou qu'il meure. Zobaïr lui lia les mains et les pieds, l'étendit par terre, et lui mit sur le visage et sur la barbe de l'amidon enflammé, qui lui brûla la peau. Kinâna n'avouait pas, Zobaïr, voyant que Kinâna était près de mourir, vint avertir le Prophète. Celui-ci lui dit de le livrer à Mohammed, fils de Maslama, pour qu'il le fît mourir...
Anas a relaté : Certains de la tribu d'Ukl sont venues chez le prophète (Mahomet) et ont embrassé L'islam. Le climat de Médine ne leur convenait pas, alors le prophète leur a ordonné de boire l'urine et le lait des chameau pour se soigner. Ils l'ont fait et ont récupérés de leur mal. Ils se sont détourné de l'islam et ont tué le berger des chameaux et sont partis avec les chameaux. Le prophète envoyé (certains) à leur poursuite et ainsi ils les ont attrapés et rapportés, et le prophète a commandé que leurs mains et jambes devaient être tranchées et que leurs yeux devraient être marqués au fer rouge et que leurs mains et leurs jambes coupées ne soient pas
cautérisées, et ceci jusqu'à ce qu'ils meurent.
Ainsi donc, un historien musulman vivant à l'âge d'or de l'Islam a cru devoir relater que le Prophète, un jour, fit torturer un homme pour lui faire révéler où se trouvaient cachés les biens de sa communauté. D'autres sources islamiques (Sira par exemple) confirment substantiellement l'affaire. Et nulle part on n'indique que cet homme les avait dérobés pour son usage personnel (s'il avait agi dans un but égoïste, du reste, s'il avait volé ses frères de religion, pourquoi aurait-il affronté ainsi la torture et la mort ?).
http://daruc.pagesperso-orange.fr/divers/islam3.htm